Près du fleuve [Vanillette]

Ahh le printemps qui arrivait déjà. La neige qui fondait et les rivières qui débordaient, j'adorais cette saison et la détestait par la même occasion. Je l'adorais parce que le temps froid s'en allait et que la chaleur allait bientôt faire tomber notre poil d'hiver. Je détestais le printemps car ma mère était morte un printemps. Se jour maudit où on m'enleva ma génitrice, ma mère et mon amie. Je n'avais même pas six mois. Depuis se jour, j'étais mère poule envers mes poulains. Je l'ai surprotégeait, faisait attention à eux et les surveillaient constamment. Les deux seuls petits que j'avais eu était partit vers d'autres contrés.
Aujourd'hui, je marchais près du fleuve, j'allais avoir mon troisième poulains. Je ne connaissais pas le père, mais j'allais avoir un petit, ou une petite. J'étais toute excitée à la pensée d'avoir enfin se poulain. Il était à l'intérieur de mois depuis tellement longtemps que je ne comptais plus les jours. Mais j'avais peur de devoir mettre bas seule, quoi de plus pire que se retrouver vulnérable dans les bois. Mon père était revenue à WH mais je ne savais pas où il se trouvait en ce moment. Je n'avais pas vue Vanille depuis tellement longtemps que je ne savais même pas si elle était toujours ici. Nombre des chevaux que je connaissais était partit et ne reviendrait probablement pas. En ce moment, j'aurais aimé voir un visage familier, une fragrance dont j'étais habitué de humé l'odeur, mais j'étais seule. Je marchais les quatre sabots dans la neige molle. Mon gros ventre ne me facilitant pas la tâche. Comme j'avais hâte d'en finir avec cette grossesse interminable!

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Les oiseaux qui chantent, les feuilles vertes, l'herbe qui pousse... C'est le printemps.
Une belle saison, celle des jeunes poulain, gambadant et jouant dans les plaines colorées.
Celle ou les couples sont le plus heureux au monde, celle que Vanille aime par dessu tout.
La jument alezane se reposais près du fleuve, elle avait fait le tour des terres de W-H
comme à son habitude, n'ayant croisée personne, elle s'était permis une petite pause
à l'ombre d'un arbre, il faut dire qu'il n'avais toujours pas perdu son épaisse fourrure de l'hiver
et que le le soleil tapait fort.
Les yeux mi-clo la jument somnolée, bercée par le flot du fleuve et le bruit des feuilles,
les délicates odeurs de fleurs envoutée l'air, et venait chatouillaient les naseaux de la jolie jument...
Mais Vanille n'était pas tranquille, elle n'arrivait pas à trouver le sommeil... Peu être est-ce à cause de cet autre odeur qui se mellait à celle des fleurs. Cette odeur qu'elle connaissait
si bien...